A 9h00 l’attaque coalisée débute. Le comte de Wittgenstein commandant des forces coalisées sur le flanc droit de la Pleisse attaque en quatre colonnes l’armée française. La bataille qui débute est alors appelé bataille de Wachau.
La première colonne Kleist s'avance en colonne par la route qui passe à Crostewitz et se dirige vers Markkeelberg. La marche de la colonne se fait sous le feu des batteries françaises positionnées sur les hauteurs à l'ouest de Wachau qui prennent la colonne en flanc. Deux bataillons prussiens parviennent à prendre d'assaut Markkeelberg et chassent deux bataillons polonais qui se replient sur les hauteurs plus en arrière. Aussitôt Poniatowski contre-attaque avec la 26e division d'infanterie et parvient à reprendre le village. Mais il en de nouveau chassé par la 12e brigade prussienne qui s’empare du village. Vers dix heures, Napoléon envoie le 9e corps d'Augereau en soutien de Poniatowski. Poniatowski et la division Smellé relancent alors un assaut sur le village: Poniatowski de front, Semllé par l'est. La 14e division russe s'avance contre Smellé et stoppe son attaque pendant que le Prince Auguste parvient à repousser l'attaque polonaise.
La deuxième colonne du prince Eugène s'avance sur Wachau, précédée par la batterie de 24 pièces de 12. Mais l'artillerie française sur les hauteurs de Wachau est plus nombreuse et finit par détruire la batterie russe. L'infanterie du Prince Eugène se déploie dans la plaine et deux bataillons sont envoyés à l’assaut de Wachau. Ils sont repoussés et l'infanterie russe et prussienne reste dans ses positions. Eugène Wurtemberg fait alors avancer toute son artillerie et reçoit en renforts encore quelques pièces de canons issus de la réserve russe. Une batterie d'environ 80 pièces est alors mise en place en face de Wachau, protégée par l'infanterie. Une forte et longue canonnade neutralise les deux camps sur ce point. Vers 10 heures, Napoléon envoie la 3e et la 4e division de la jeune garde sous le commandement d'Oudinot en réserve derrière les troupes de Victor à Wachau.
La troisième colonne du Prince Gortschakoff se dirige sur Liebrtwolkwitz en longeant le bois de l'université et engage le combat par le côté sud-est du village avec la division Maison du 5e corps de Lauriston. À sa gauche, le comte Pahlen s'avance contre le monticule Galgenberg et y fait déployer une batterie d'artillerie
La quatrième colonne de Klenau va alors s'avancer par la route à l'ouest de Seyffertshayn et tente de déborder les Français par leur flanc Est, la cavalerie de Roder en tête. Mais celle-ci est interceptée par la cavalerie du 5e corps de Pajol au niveau du Klomberg. Après un rapide combat, la cavalerie française doit se replier. La brigade autrichienne Spleny attaque Liebertwolkwitz par le flanc Est mais est repoussée par la division Rochambeau du 5e corps de Lauriston. Pendant cette attaque, deux batteries (24 pièces) sont installées sur le Klomberg. Le gros de la colonne de Klenau s'étend entre Gross-Possnau et Fuschshayn. Devant le retard du 11e corps de Macdonald qui devait occuper le flanc Est français, Napoléon dépêche vers 11 heures les 1er corps de cavalerie (Latour-Maubourg) et 5e corps de cavalerie Pajol (sauf la division Milhaud) former la ligne entre Liebertwolkwitz et Holzaushen. Le maréchal Mortier, qui se voit confier provisoirement la première et deuxième division de la jeune garde est également envoyé de ce côté en réserve derrière la cavalerie des 1er et 5e corps.
À midi, le 11e corps de Macdonald et le 2e corps de cavalerie de Sébastiani arrivent enfin sur le champ de bataille au sud de Holzaushen. De leur côté, les coalisés font avancer les réserves russes et prussiennes entre Gossa et Cröbern, en face de Wachau. Le front de la bataille de Wachau est stabilisé vers midi.
De 9h00 à 12h00 l’attaque coalisée a échoué. Juste Markkleeblerg tombe mais il n'y a pas de débouché pour les alliés. Il se trouve actuellement 15 000 coalisés contre 5 000 français, les français se battent à 1 contre 3! Macdonald et Sebastiani surle front Est, Napoléon est prêt pour la contre-attaque.Macdonald attaque pour attirer réserves coalisées pendant que Drouot avec une grande batterie pilonne. Une fois l'attaque débordante de Macdonald est produit ses effets Lauriston et Mortier se porteront de Liebertwolkwitz sur Stormethal pendant que Victor et Oudinot déboucheront de Wachau sur Gossa.
A 13 heures Macdonald débouche de Holzaushen suivie de la division Charpentier par la chaussée ouest de la route, Ledru par la chaussée Est, Gérard plus à l'est, appuyé sur sa gauche par la cavalerie Sébastiani et avec Marchand en réserve. Charpentier et Ledru repoussent la brigade prussienne Ziethen mais sont arrêtés devant le Klomberg et la tête du bois de Gross-Posnau. Sébastiani parvient à enfoncer la cavalerie autrichienne de la Brigade Baumgarten et prussienne de la Brigade von Mutius et à s'emparer de Seyffetshayn. Mais au moment de déboucher de ce village, Sébastiani est attaqué par les brigades de cuirassiers Von Wrangel et Desfours qui l'obligent à se replier en arrière du village. La division du Général Gérard, qui a été blessé dès les premiers engagements, se dirige sur Klein-Pössnau.
A 13h45 Napoléon au moulin Glagenberg voie l’attaque de Macdonald stoppée, vient en personne reconnaître les lieux et ordonne à la division Charpentier de s’emparer du Klomberg (petit monticule couvert de 2 batteries autrichiennes).La division Charpentier et le22e régiment des légers s’en empare.Le Général Meunier sera blessé pendant l’assaut. Ledru s'avance sur Seyffetshayn et il s’empare . Les deux divisions françaises sont arrêtées devant Gross-Pössnau et à la sortie de Seyffetshayn. Le maréchal Macdonald vient en personne conduire l’attaque sur Gross-Pösnau mais les Autrichiens tiennent bon.
Il est 14h30 et Napoléon observe que le débordement sur la droite de Macdonald ne donnera rien, retourne alors à Glagenberg et apprend l’arrivée de Blücher au Nord de Leipzig,Marmont sera alors seul pendant un long moment. L’empereur va alors décider de lancer l’offensive sur le centre coalisé qui pilonné depuis 13h00 par les 150 batteries françaises qui ont déjà anéantie pas mal de batteries prussiennes et russes.
Lauriston débouche de Liebertwolkwitz, avec la division Maison en tête de colonne, appuyé par les deux divisions de la Jeune Garde du Maréchal Mortier. Il parvient à culbuter les troupes de Gortchakov qui se replient en partie sur Gossa, en partie dans le bois de l'Université. Le 5e corps de Lauriston se dirige donc sur Gossa , Mortier essaye de pénétrer dans le bois de l'Université. À compter de ce moment, les troupes de Mortier sont détachées de Lauriston et ne participent plus à l'attaque du centre. Mortier, appuyé par la cavalerie Piré et L'Héritier, coordonne ses attaques avec Macdonald contre les Autrichiens de Klenau. Au même moment, Victor, appuyé par Oudinot, repousse les troupes du Prince de Wurtemberg et s'avance sur Auenhayn qu'il ne parvient pas à prendre. Drouot fait avancer sa batterie pour couvrir l'espace entre Lauriston et Victor. De leur côté, Augereau et Poniatowski renouvellent leurs assauts sur Markkleeberg, mais sans succès.
Contre cette poussée, Barclay de Tolly va engager ses dernières réserves : la 1ère division de grenadiers russes (ou le 3e corps de Raïevski) face à Victor, et la 2e division appuyé par la cavalerie de Pahlen III sur Gossa contre Lauriston. Dans l’espace entre ces deux colonnes, la cavalerie légère de la garde russes et 3 divisions de cuirassiers lancent une charge furieuse sur les deux divisions de jeunes gardes d’Oudinot. Le Tsar, le Roi de Prusse ainsi que leurs dernières réserves rejoignent le Prince de Shwarzenberg qui promet l’arrivée de renfort sur la rive ouest de la Pleisse. Les français sont chassés de Gossa et d’Auenhayn mais les deux divisions de jeune garde d’Oudinot tiennent bon face à la charge russe. Le front se stabilise alors.
Vers 15h30, Napoléon lance sa cavalerie en deux colonnes pour une attaque décisive. Murat, à la tête de la première colonne formée du 1er corps de cavalerie et de la 6e division de cavalerie lourde du général Milhaud lance une des plus grandes charges de cavalerie de l'Histoire. 7 900 cavaliers répartis en 92 escadrons partent de l'est de Wachau et, passant au travers de la grande batterie de Drouot, enfoncent les cuirassiers russes au centre puis continuant sur leur lancée enfoncent la deuxième division de grenadiers qui s'était avancée devant de Gossa et enfin chargent la cavalerie de Pahlen au niveau du lac vert. Le général Maison du corps Lauriston, qui a suivi le mouvement, pénètre dans Gossa et s’empare de la moitié du village. En une seule charge, Murat parvient à dégager le centre français et à enfoncer toutes les troupes coalisées entre Gossa et le bois de l'Université. Mais les cavaliers français, qui ont subi de lourdes pertes et que la charge a désorganisés, se trouvent désormais dans une zone marécageuse et ont du mal à se rassembler.
Seulement Murat ne lance pas ses réserves à la rescousse. Pour quelles raisons ? Mystère… En tout cas, une violente contre-attaque de la Garde Impériale russes (5e corps de lermolov) entraînant la retraite des cavaliers de Murat. Ceux-ci, chargés de surplus par les Cosaque de l’escorte personnelle du Tsar, entre en déroute laissant alors les batteries de Drout sans protection alors obligé de former le carré. C’est alors que Letort de son côté à la tête de la seconde colonne de cavalerie formée du 4e de cavalerie et de sa brigade de cavalerie de la vielle garde Impériale (soit en tout un peu moins de 4 000 cavaliers) s’élance à l’ouest de Wachau et culbute les cuirassiers de Levatchov ainsi qu’une partie des grenadiers de la 1ère division qui se trouvaient à l’ouest de Auenhayn. Ils vont alors avancer jusqu’aux alentours de Cröbern et dans leur sillage, Victor, à la tête de la division Dubreton, charge Auenhayn à la baïonnette et en chasse la brigade prussienne Klux et les deux régiments de grenadiers russes. La charge de Letort a coupé l'armée coalisée en deux puisque Kleist se trouve désormais isolé dans Markkleeberg, attaqué de front sans succès par les troupes de Poniatowski et d'Augereau. Mais plus important que le sort de Kleist, c'est le pont de Cröbern qui assure la liaison directe entre l'armée de Barclay de Tolly et les troupes de Schwarzenberg sur la rive ouest de la Pleisse qui se trouve désormais à portée des cavaliers français de Letort. C'est le moment crucial de la bataille qui peut faire basculer la victoire dans un camp ou dans l'autre.
Un peu après 16 heures, les cuirassiers autrichiens Nostitz, suivis par l'infanterie du Prince de Hesse Hombourg, débouchent par le pont de Cröbern et chassent les cavaliers français de Letort qui en disputaient les abords. 20 000 Autrichiens débouchent sur le champ de bataille et en venant rétablir la situation délicate de Barclay de Tolly renversent le cours de la bataille. Nostitz force Letort à se replier au niveau de la bergerie d'Auenhayn. Dans la foulée, les divisions Bianchi et Weissenwolf rétablissent la liaison avec Kleist à Markkleeberg. La garde prussienne vient se positionner au niveau de la fosse d'argile et rétablit la liaison entre Auenhayn et Gossa. Pendant ce temps, à l'est du champ de bataille, Macdonald, les deux divisions de la jeune Garde de Mortier, la cavalerie de 3e et 5e corps (moins Milhaud) luttent fermement contre les forces de Klenau, sans parvenir à les enfoncer. À plusieurs reprises, Sébastiani charge avec son 3e corps les cosaques de Platov à l'est de Sayfferstayn sans parvenir à les enfoncer. Mortier finit par s’emparer entièrement du bois de l'Université mais ne parvient pas à déboucher sur Gross-Ponsau.
À 17 heures, Napoléon renouvelle une dernière attaque générale mais sans engager la Vielle Garde qu'il conserve comme ultime réserve. Les deux divisions d'Oudinot sont envoyées contre Bianchi et Weissenwolf pour les enfermer dans Markkleeberg. Mortier est rappelé du bois de l'Université pour venir enlever le village de Gossa, toujours à demi occupé par la division Maison. La cavalerie de Murat se reforme en arrière de l'infanterie et se tient prête à enfoncer le point faible ennemi. Mais les deux attaques de Mortier et Oudinot échouent. Les Prussiens de Pirch, appuyés par les grenadiers russes qui se sont reformés, parviennent même à chasser Maison de Gossa.
Avec la tombée de la nuit, le front se stabilise peu à peu. Les coalisés évacuent Markkleeberg, position devenue bien trop avancée pour être tenue toute la nuit. Les Polonais de Poniatowski s’emparent de ce village.
Pendant ce temps :
Bataille de Connewitz : Le corps du Général Merveldt s'avance vers 8 heures sur Connewitz mais ses éclaireurs lui annoncent que le pont est détruit, et le passage impraticable. Il se rabat donc sur Lösnig où il pense pouvoir traverser à gué. Mais les marais et les bois épais ralentissent considérablement sa marche. Et là encore, la rivière, gonflée par les eaux de pluie des derniers jours, n'est pas guéable. Les quelques voltigeurs de la division Lefol suffisent à empêcher toute traversée de la rivière. Son aile droite parvient toutefois à s'emparer du Château de Dôlitz (qui se trouve sur la rive gauche). Poursuivant sur son succès, l'aile droite autrichienne traverse la rivière à pied et se lance à l'assaut du moulin de Dölitz sur la rive droite. Mais les quelques voltigeurs de la division Lefol qui s'y trouvent barricadés dans le bâtiment suffisent à les repousser. Les autrichiens tentent en vain d'y mettre le feu.
À 11 heures, tous les efforts autrichiens sont vains. 14 000 hommes de Merveldt et 19 800 du Prince de Hesse-Hombourg sont arrêtés par une rivière, un pont détruit et quelques centaines de français. Napoléon envoie tout de même la division Turreau (4 500 hommes du 9e corps d'Augereau censé être à Wachau) en soutien de la division Lefol.
Ici Merveldt général et diplomate autrichien
Bataille de Lindeneau vers le Sud-Ouest :
À 9 heures, Giulay met ses troupes en marche par trois colonnes:
• la première formée de la Brigade du Prince de Hesse-Hombourg (1re division légère), marche en direction de Leutz sous la direction du Prince de Hesse-Hombourg, soit 2 943 hommes et 12 canons;
• la seconde formée de la division Creneville et de la brigade von Riesenburg (3e division autrichienne) est dirigée par Giulay et marche sur Lindenau dans ce qui forme l'attaque principale avec 6 295 hommes et 14 canons;
• la troisième est formée par la brigade Czollich qui dirige la colonne vers Plagwitz avec 3 802 hommes et 8 canons;
• la cavalerie de la division Liechtenstein marche en réserve de la seconde colonne et la cavalerie de Thielmann reste encore plus en arrière et ne participe pas au combat.
De ce côté, le salut de l’armée a été un instant compromis. Giulay, repoussant les attaques de notre avant-garde, l’a fait reculer d’abord jusqu’au bras de l’Elster qu’on appelle la Luppe. Alors les ponts de Lindenau étaient au pouvoir des Autrichiens : c’en était fait si Giulay les eût fait sauter !…
Mais Bertrand, n’écoutant plus que la nécessité de vaincre, a ramené ses troupes à la charge, et la victoire, dont le regard est maintenant si sévère pour les Français, a fini par sourire à tant d’efforts. Nous sommes rentrés en possession de Lindenau ; nous occupons les ponts. Giulay nous a abandonné la route d’Erfurth ; il s’est retiré, par Klein-Zschocher, sur le gros de l’armée autrichienne.
La route de France est donc libre ! Cette nouvelle se répand aussitôt dans le camp, et le nom du général Bertrand est dans toutes les bouches.
Bataille de Möckern au Nord :
Le 6e corps du Maréchal Marmont a pris position à Breitenfeld, Lindenthal et Wahren où se sont retranchées depuis deux jours ses trois divisions (15 079 hommes et 92 canons). La cavalerie de la division Lorge (3e corps de cavalerie) et de la brigade de cavalerie Normann (2 295 cavaliers et 3 canons) est étendue en avant de la ligne.
L'armée de Silésie du général Blücher est encore en arrière de Schkeuditz. Le Général Blücher vient vers 9 heures mener une reconnaissance personnelle vers Lutzchena afin d'observer le dispositif français avant de mettre son armée en marche. Il s'agit également de laisser le temps aux troupes de se reposer et à l'arrière-garde de rejoindre.
Un peu avant 10 heures, Blücher met son armée en marche : Langeron doit se porter sur Radefeld avec son corps en première ligne, suivi de Sacken et Saint-Priest, puis attaquer Breitenfled. Le Général York doit lui attaquer Lindenthal. Le restant de l'armée de Silésie doit se porter sur Wharen.
Au même moment, Marmont, qui vers 9h00 a reçu l'ordre de Napoléon écrit à 8h de marcher au sud de Leipzig pour servir de réserve à la bataille de Wachau, doit être remplacé dans ses positions par le 3e corps (Souham) qui est encore en marche (deux divisions sont arrivées à Mockau). Mais lorsqu'il voit l'avance de l'armée de Silésie (que personne ne savait être à Sckeuditz), Marmont décide qu'il ne peut abandonner ses positions pour exécuter l'ordre de Napoléon car le 3e corps ne peut pas encore le remplacer. Il informe aussitôt le Maréchal Ney (son supérieur direct) et Napoléon qu'il reste dans ses positions jusqu'à l'arrivée du 3e corps.
À 11 heures, il reçoit un nouvel ordre formel de Napoléon d'abandonner ses positions sur le champ et de laisser le 3e corps défendre contre Blucher. Il semble qu'au moment où il rédige cet ordre, Napoléon n'ait pas eu conscience de l’imminence du danger qui menace le corps de Marmont. Les 15 000 français doivent affronter plus de 60 000 hommes et quitter les villages fortifiés leur ferait courir un grand danger. De concert avec Ney, Marmont décide de rester dans ses positions. Ney décide alors d'envoyer à Napoléon les deux divisions de Souhamm au sud de Leipzig à la place de Marmont.
Mais un troisième ordre de Napoléon, écrit avant qu'il apprenne que le 3e corps devait venir à la place du 6e, exige le départ immédiat de Marmont. Celui-ci s'exécute donc vers midi, au moment même où il allait être engagé par l'avant-garde des colonnes prussiennes.
Marmont se replie donc sur Möckern et Widderitzsch.
C'es la fin du 16 Octobre 1813